Accueil > Evénements scientifiques > Séminaires de recherche, stages, ... > Séminaire mensuel "Sociétés, politiques et cultures du monde iranien" (...)
Séminaire mensuel "Sociétés, politiques et cultures du monde iranien" (2019-2020)
vendredi 26 juillet 2019
Séminaires pluridisciplinaires de Mondes iranien et indien
 
Organisateurs
Amr Ahmed (INaLCO), Sandra Aube (CNRS), Samra Azarnouche (EPHE), Oliver Bast (Paris 3)
 
[marron] Lieu et numéro de salle : à vérifier pour chaque séance [/marron]
INaLCO, 65 rue des Grands Moulins, 75013 Paris
Horaire
Un jeudi par mois (sauf jours fériés)
17h30 – 19h30
| 17 octobre 2019 | 06 novembre 2019 | 03 décembre 2019 |
| 16 janvier 2020 | 06 février 2020 | 05 mars 2020 | 02 avril 2020 (Séance Annulée) | 14 mai 2020 (Séance Annulée) | 04 juin 2020 (Séance Annulée) |
 
Séminaires des années précédentes
 
................
Le séminaire Sociétés, politiques et cultures du monde iranien est organisé par Monde iranien et indien. Il vise à présenter des recherches récentes sur l’Iran et le monde iranien (Afghanistan, Inde, Asie Centrale, Caucase) dans une perspective pluridisciplinaire (histoire et histoire de l’art, sciences politiques, anthropologie, littérature, archéologie etc.). Selon les séances, un ou deux intervenants présenteront leurs travaux respectifs.
Ce séminaire se veut un lieu d’échanges et de débats intellectuels. Il est ouvert à tous les chercheurs travaillant sur le monde iranien, aux étudiants de master, aux doctorants ainsi qu’aux chercheurs sur d’autres aires culturelles.
__1__
 
Programme de toutes les séances
Jeudi 17 octobre 2019, 17h30-19h30
Lieu : INALCO, 65 Rue des Grands Moulins, 75013, Paris (salle à confirmer)
- Siavush RANDJBAR-DAEMI (University of St Andrews)
Between Innovation and Imitation : Iran’s Revolutionary Constitution-Writing in 1979
This talk will discuss Iran’s complex constitution-writing processes of 1979. It will contend that the latter were made especially challenging by the lack of a structured republican tradition upon the demise of the monarchical state system in February 1979, which caused the repetition of the trend seen in 1906, when European models were hastily adopted to overcome a similar absence of homegrown republican concepts. The talk will focus on how the initial, ‘draft’, constitution evolved into the final text containing the institutionalisation of the role of the velâyat-e faqih. It will do so by highlighting the role of various personalities and political groups in this process and note how their critiques at various stages contributed to provisions that have been a staple of inner-elite interaction in the decades since.
Siavush Randjbar-Daemi est maître de conférences au département d’histoire de l’University of St Andrews (Ecosse). Ses recherches portent sur l’évolution de l’État-Nation en Iran, sur l’histoire de la Gauche en Iran durant le XXe siècle et sur le développement de la presse politique iranienne depuis 1941. Il a notamment publié The Quest for Authority in Iran : A History of the Presidency from Revolution to Rouhani, London : I.B. Tauris, 2017 (édition en livre de poche : London : Bloomsbury, 2019) et il est coéditeur de Political Parties in the Middle East, London : Routledge, 2019.
Mercredi (!), 06 novembre 2019, 17h30-19h30
Lieu : INALCO, 65 Rue des Grands Moulins, 75013, Paris (amphi 6)
- Houri BERBERIAN (University of California, Irvine)
Roving Revolutionaries : Armenians and the Connected Revolutions in the Russian, Iranian, and Ottoman Worlds
Three of the formative revolutions that shook the early twentieth-century world occurred almost simultaneously in regions bordering each other. Though the Russian, Iranian, and Young Turk Revolutions all exploded between 1904 and 1911, they have never been studied through their linkages until now. Roving Revolutionaries probes the interconnected aspects of these three revolutions through the involvement of the Armenian revolutionaries — minorities in all of these empires — whose movements and participation within and across frontiers tell us a great deal about the global transformations that were taking shape. Exploring the geographical and ideological boundary crossings that occurred, this archivally grounded analysis of the circulation of revolutionaries, ideas, and print tells the story of peoples and ideologies in upheaval and collaborating with each other, and in so doing it illuminates our understanding of revolutions and movements.
Houri Berberian is Professor of History, Meghrouni Family Presidential Chair in Armenian Studies, and Director of the Armenian Studies Program at the University of California, Irvine. She is the author of a number of articles and two books, Armenians and the Iranian Constitutional Revolution of 1905-1911 : The Love for Freedom Has No Fatherland and, most recently, Roving Revolutionaries : Armenians and Connected Revolutions in the Russian, Iranian, and Ottoman Worlds (UC Press, 2019).
[rouge]Jeudi, 3 décembre 2019, 18h00-20h00
Lieu : Maison de la Recherche Sorbonne nouvelle - salle Claude Simon
4, rue des Irlandais, 75005 Paris[/rouge]
- Agnes KORN (CNRS, FRE2018 - Mondes iranien et indien)
Sondage dans les profondeurs : diglossie, multilinguisme et strates linguistiques en baloutchi
Le baloutchi, parlé à l’extrémité sud-est de l’aire iranienne en Iran et au Pakistan, peut donner l’impression d’une langue indo-aryenne, avec ses consonnes rétroflexes, ses voyelles nasales, et une intonation typique de l’Asie du Sud (du moins pour les dialectes parlés au Pakistan) – tout comme on pourrait rapprocher l’ossète, situé à l’autre bout de l’aire iranienne, d’une langue caucasienne. En même temps, et en contraste avec sa situation actuelle, le baloutchi est classé comme appartenant à la branche septentrionale de l’iranien occidental. Ajoutons à ceci l’observation de Geiger en 1901 : « le baloutchi sort brillamment du lot de toutes les langues iraniennes » par des traits étonnamment archaïques, et on arrive à un panorama d’éléments que cette présentation se propose d’étudier. Par une promenade à travers les siècles, nous allons dégager les couches de contact des différentes langues que le baloutchi a connues au cours de son histoire, pour aboutir à la mosaïque qui est la langue d’aujourd’hui.
Bibliographie
BOYAJIAN, Vahe. 2003. "Towards the interpretation of the term balōč in the Šāhnāme". The Baloch and Their Neighbours. Ethnic and Linguistic Contact in Balochistan in Historical and Modern Times, ed. by Carina Jahani and Agnes Korn, 313–320. Wiesbaden : Reichert.
ELFENBEIN, Josef. 1982. "Notes on the Balochi-Brahui Linguistic Commensality". Transactions of the Philological Society.77–98.
GEIGER, Wilhelm. 1901. "Die Sprache der Balūtschen". Grundriss der iranischen Philologie, ed. by Wilhelm Geiger and Ernst Kuhn, I/2:231–248. Strassburg : Trübner.
KORN, Agnes. 2005. Towards a Historical Grammar of Balochi. Vol. 26. Beiträge zur Iranistik. Wiesbaden : Reichert.
Agnes Korn a fait ses études en linguistique indo-européenne et comparée (mémoire de master sur la métrique du Rigvéda, Vienne 1996 ; thèse sur la phonologie historique du baloutchi, Francfort s/M 2005 ; habilitation sur la linguistique comparée de l’iranien, Francfort s/M 2010). Depuis 2015, elle est chargée de recherche au CNRS et membre de l’équipe Mondes iranien et indien. Ses projets actuels portent sur la grammaire du baloutchi, la documentation du bachkardi et la phonologie historique du persan.
Jeudi, 16 janvier 2020 (binôme de doctorants avancés), 17h30-19h30
Lieu : INALCO, 65 Rue des Grands Moulins, 75013, Paris (salle 4.15)
- Olivia RAMBLE (EPHE)
Écriture et espace : dynamiques et intertextualité entre les inscriptions du Palais de Darius à Persépolis
Le palais (tačara) de Darius (c. 550 à 487 av. n. ère) à Persépolis, véritable musée vivant d’écritures, présente plusieurs dizaines d’inscriptions gravées dans des langues différentes en de multiples graphies distinctes : celles-ci vont des inscriptions monumentales trilingues commanditées par le roi achéménide pour orner la structure, aux graffiti modernes les plus stylisés rédigés en persan, anglais et arabe - quelques vers de poésie ou encore un simple nom - laissés là par des visiteurs. Certains d’entre eux sont venus de loin pour admirer les majestueuse ruines persépolitaines, vestiges d’une époque révolue située dans un imaginaire collectif entre mythe et histoire.
Ces écrits ont individuellement fait l’objet d’études spécialisées, mais une analyse globale des textes épigraphiques du tačara fait encore défaut. Cette présentation propose une réflexion sur l’articulation spatiale des inscriptions entre elles ainsi que sur les différents outils linguistiques mobilisés par les auteurs pour évoquer, d’une part, l’édifice sur lequel ils ont gravé ces textes et, de l’autre, les inscriptions plus anciennes qui entourent la leur.
Dans le sillage de travaux en histoire et archéologie, linguistique et anthropologie de l’écriture (M. Canepa, B. Fraenkel, Ö. Harmansah et Ch. Ragazzoli), nous proposerons une étude de la dynamique spatiale et textuelle entre épigraphie primaire et secondaire qui anime les relations des inscriptions du tačara de Darius entre elles pour tenter de mieux comprendre cette multiplication des écrits, sur plusieurs millénaires, au sein de l’espace restreint d’un même monument.
Olivia Ramble est doctorante contractuelle à l’EPHE depuis 2017 et travaille sur l’histoire et l’épigraphie de l’Iran ancien. Son projet de thèse porte sur l’étude des inscriptions rupestres de la période achéménide (550-330 av. n. ère) à la période sassanide (224-651 n. ère) dans leur contexte. Elle s’intéresse plus largement à ce que l’anthropologie de l’écriture d’une part et les humanités numériques de l’autre peuvent apporter à l’étude de la pratique de l’écriture en Iran ancien.
- Jean ARZOUMANOV (Sorbonne Nouvelle – Paris 3)
Ascètes et saints indiens dans le corpus textuel indo-persan : entre poésie, ethnographie et hagiographie
Présents très tôt chez les poètes indo-persans, brahmanes et ascètes hindous ne restent longtemps que des figures stéréotypées. À partir de 1650, se développe en persan une ethnographie des groupes religieux et ascétiques hindous, progressivement intégrée à l’écriture historiographique et encyclopédique indo-persane. Au même moment, les lettrées hindous persanophones participent au grand mouvement de littérature dévotionnelle en Inde du Nord en composant des hagiographies de saints hindous en langue persane. A la demande des Britanniques, ces mêmes lettrés composent à partir des années 1790 des manuels ethnographiques. Nous souhaitons rendre compte du développement de cette riche littérature indo-persane consacrée aux ascètes hindous jusqu’à son terme au milieu du XIXème siècle.
Formé initialement en grammaire comparée et en indologie (sanscrit), Jean Arzoumanov achève actuellement une thèse sur les groupes ascétiques et monastiques indiens dans la littérature indo-persane (1550-1850) à l’Université Sorbonne Nouvelle - Paris 3
Jeudi, 6 février 2020, 17h30-19h30
Lieu : INALCO, 65 Rue des Grands Moulins, 75013, Paris (salle 4.13)
- Hamit BOZARSLAN (EHESS)
La question kurde dans les années 2020
Groupe ethnique de trente millions d’âmes divisés entre l’Iran, la Turquie, l’Irak et la Syrie, le Kurdistan traverse une longue période de contestations armées depuis 1961. La Guerre du Golfe de 1991 débouche sur la construction d’une région autonome (1991), puis fédérée (2005) en Irak. Principal acteur de la guerre contre l’Etat islamique en Syrie, les forces kurdes résistent entre 2018-2020 à la tentative d’occupation de leurs territoires par Ankara.
Les chroniques arabes mentionnent l’existence d’un groupe kurde et d’un espace défini comme Kurdistan dès le 8ème siècle. De cette période au début du 16ème siècle, nombreuses entités kurdes voient le jour sans déboucher cependant sur la construction d’un Etat unifié. Les émirats kurdes maintiennent leur existence après la guerre qui oppose deux puissances impériales, ottomane et persane au début du 16ème siècle mais sont détruites, au prix d’une répression massive, au cours du 19ème siècle. Le deuxième partage du Kurdistan, suivant la fin de l’Empire ottoman et le partage du Moyen-Orient (1918-1926) est suivi d’une série de révoltes qui s’achèveront par la formation de la république autonome de Mahabad en Iran en 1946.
Depuis la fin de la Grande Guerre, la question kurde, est déterminée d’une part par l’imposition et de militarisation des frontières qui entravent la mobilité intra-kurde, d’autre part par les politiques répressives que les Etats opposent à la demande de reconnaissance que formulent les acteurs kurdes. Comme l’illustre le cas du HDP (Parti démocratique des peuples) dont nombre d’élus sont emprisonnés, les acteurs kurdes ont tenté chaque fois que cela était possible de privilégier l’option de non-violence pour faire avancer leur cause. Le recours aux armes sur une si longue période s’explique avant tout par la fermeture du champ d’action légale.
Si les Kurdes ne constituent pas une minorité numérique dans l’espace qu’ils occupent, ils ne sont pas moins réduits à un statut de minorité, privée des droits dont jouissent les majorités persane, turque ou arabe. Durant de longues décennies les Etats ont opposé une politique répressive commune contre les mouvements kurdes. L’alliance qui se noua en 2017 entre Bagdad, Ankara et Téhéran au lendemain du référendum sur l’indépendance au Kurdistan d’Irak montre que ces capitales peuvent toujours construire un « front sacré ». Malgré ses divisions internes, la contestation kurde répond à ce front en mettant en place un espace politique commun, informel mais transfrontalier, dont le KRG (Gouvernement régional du Kurdistan, dominé par le Parti démocratique du Kurdistan de Massoud Barzani) et le PKK (Parti des travailleurs du Kurdistan d’Abdullah Öcalan, en prison depuis 1999) sont les deux piliers.
L’entente anti-kurde entre les Etats n’est d’ailleurs pas à toute épreuve : depuis la Guerre Iran-Irak (1980-1988), le Proche-Orient est devenu le lieu de nombreux conflits, interétatiques ou civils, sans lien avec le Kurdistan mais se déroulant également dans l’espace kurde. Très couteuses pour la population kurde (sans doute plus de 250.000 victimes depuis 1980 !), ces guerres permettent cependant aux acteurs kurdes d’élargir leurs marges de manœuvre et de nouer des alliances, plus ou moins durables, avec les Etats régionaux ou les puissances mondiales comme les Etats-Unis. L’effondrement des sociétés en Irak, mais surtout en Syrie, prises en otage par le conflit confessionnel alaouite/chiite-sunnite dans les années 2000-2010 explique la marginalisation de Bagdad et de Damas en tant qu’acteurs autonomes dans la région, mais propulse au-devant de la scène les deux puissances régionales aux projets hégémoniques, l’Iran et la Turquie. L’intervention des milices chiites dépendant des Forces al-Quds des Pasdarans ("Gardiens de la révolution") iraniens dans la ville de Kirkuk en Irak et celle de la Turquie dans l’enclave d’Afrin en Syrie signalent la reconfiguration de la question kurde à l’horizon de la décennie 2020. Il importe cependant aussi de mentionner la présence de deux autres puissances, mondiales cette fois-ci, la Russie, assurant la survie du régime de Bachar al-Assad, et des Etats-Unis disposant des forces au Kurdistan irakien et contrôlant, grâce à leur alliance avec le PDY (Parti d’unité démocratique, proche du PKK), plus d’un quart du territoire syrien. De régionale, la question kurde gagne ainsi une dimension internationale, sans qu’on puisse faire une prédiction concernant l’avenir.
Docteur en histoire (Les courants de pensée dans l’Empire ottoman, 1908-1918, sous la direction de François Furet, EHESS, 1992) et en sciences politiques (Etats et minorités au Moyen-Orient. La régionalisation de la question kurde, sous la direction de Rémy Leveau, IEP de Paris, 1994), Hamit Bozarslan a été allocataire de recherche au Centre Marc Bloch (1995-1997) et "visiting fellow" à l’Université de Princeton (1998). Elu maître de conférence à l’EHESS en 1998, puis, en 2006, directeur d’études dans le même établissement, il a co-dirigé, avec Daniel Rivet et Jean-Philippe Bras, l’IISMM (Institut d’Etudes de l’Islam et des Sociétés du monde musulman) entre 2002 et 2008. Il est membre du comité de rédaction des revues Cultures et Conflits et Critique internationale et membre de la Société asiatique.
Jeudi, 5 mars 2020, 17h30-19h30
Lieu : INALCO, 65 Rue des Grands Moulins, 75013, Paris (salle 4.13)
- Dominic BROOKSHAW (University of Oxford)
Hafiz of Shiraz : royal panegyrist and city propagandist
In the immediate post-Mongol period, poems written in praise of Shiraz and its rulers formed the backbone of the lyrics produced in the city. Hafiz (d. 1390), who maintained an almost constantly intimate relationship with the local court in Shiraz from the mid-1340s to his death more than four decades later, reinvigorated the panegyric ghazal and employed it as the primary vehicle for his form of chauvinistic Shirazi propaganda. Through what can come across as hyperbolic, saccharine lauding of his home town, Hafiz targeted rival poets active in the other major centres of literary activity in the region, primarily Tabriz and Baghdad. Hafiz infused these odes commissioned by and presented to a succession of royal patrons with the homonormative aesthetics of the Persian love lyric. The poet presents Shiraz and its environs as a paradise on earth and the abode of the irresistible, all-captivating patron as beloved. In tandem with his local contemporaries, Hafiz promoted the cultural superiority of Shiraz through the insistent claim by those in the pay of the court that the poetry produced within Shiraz’s urban fabric constitutes the standard that all Persian poets must strive for, whether they be players within the same transregional literary network, or poets who are active far beyond the former borders of the Ilkhanid realm. My lecture will examine a group of panegyric ghazals that I have dubbed the Shahshuja’iyat in which Hafiz seeks to focus the attention of consumers, connoisseurs and practitioners of poetry on those characteristics of the court of his most erudite patron, Shah Shuja‘ (d. 1384), that make it (and, by extension, the Muzaffarid capital as a whole) a most favourable and sympathetic environment for the production of fine Persian verse
Dominic Brookshaw est maître de conférences (Associate Professor) en littérature persane à l’université d’Oxford et Senior Research Fellow in Persian au Wadham College. Ses recherches portent principalement sur la poésie persane, mais il s’intéresse également à la production littéraire de la diaspora iranienne, aux minorités non-musulmanes en Iran ainsi qu’à l’enseignement du persan en tant que langue étrangère. Il vient de publier Hafiz and His Contemporaries : Poetry, Performance and Patronage in Fourteenth-century Iran (London : I.B. Tauris/Bloomsbury, 2019).
[rouge]Séance Annulée[/rouge]
Jeudi, 02 avril 2020 (binôme de doctorants avancés) , 17h30-19h30
Lieu : INALCO, 65 Rue des Grands Moulins, 75013, Paris (salle 4.13)
- Rémi DROUIN (Sorbonne Nouvelle – Paris 3)
L’Iran et les minorités chiites persanophones en dehors de ses frontières (1893 – 1998) : Le cas d’étude des Hazaras (intitulé provisoire)
- Khojesta EBRAHIMI (Sorbonne Nouvelle – Paris 3)
La prose persane (le roman et la nouvelle) d’Afghanistan dans le champ de la littérature mondiale (intitulé provisoire)
................
[rouge]Séance Annulée[/rouge]
Jeudi, 14 mai 2020, 17h30-19h30
Lieu : INALCO, 65 Rue des Grands Moulins, 75013, Paris (salle 4.13)
- Antonio Clemente Domenico PANAINO (Università di Bologna, Ravenna)
Le symbolisme de la flèche et de l’archer (roi ou héro) dans le monde iranien préislamique
[rouge]Séance Annulée[/rouge]
Jeudi, 04 juin 2020, 17h30-19h30
Lieu : INALCO, 65 Rue des Grands Moulins, 75013, Paris (salle 4.13)
- Simon RETTIG (Freer Gallery, Smithsonian Institution, Washington DC)
Repenser la genèse de la peinture persane classique : le cas des manuscrits illustrés de Sultan Ahmad Jalayir vers 1400
 
__0__